types de narrateurs

Vous voulez écrire un roman, mais vous avez un problème : vous ne savez ni comment fonctionnent les différents types de narrateurs. Ni comment déterminer celui qui portera votre histoire.

Et vous craignez de faire le mauvais choix. Puis d’écrire des dizaines voire des centaines de pages avant de vous rendre compte… Que quelque chose ne va pas !

Alors vous aimeriez comprendre quels sont les avantages de chacun des types de narrateurs. Quels sont leurs inconvénients. Et comment les utiliser au mieux pour narrer votre histoire.

Mais tout ce que vous savez sur les différents points de vue, ce sont les bases… Ce qui ne va pas vous sauver les miches pour cette fois-là !

En continuant votre lecture, vous allez découvrir les différences entre les 3 types de narrateurs les plus utiles, dans quels cas les utiliser et comment les maîtriser.

Les 3 types de narrateurs principaux :

  1. Le narrateur à la première personne.
  2. Le narrateur omniscient.
  3. Le narrateur à la troisième personne limitée.

1.  Le narrateur à la première personne :

narrateur première personne

 Parmi les différents types de narrateurs, celui-ci est spécial. Car il ne raconte pas seulement l’histoire : il en fait partie. C’est un personnage du récit.

En fait, il apporte son point de vue tout au long du roman et décrit les faits en utilisant le « je ».

Un exemple :

« Une fois de plus, je la voyais s’éloigner au bras d’un autre. Il n’était ni plus beau, ni plus riche que moi. Son seul atout : il la faisait rire sur commande. Pour ma part, il fallait bien l’avouer, j’étais incapable de lui soutirer le moindre sourire. »

Voyons comment utiliser ce type de narrateur.

Un narrateur très présent :

Le narrateur à la première personne est un personnage que vos lecteurs suivent littéralement à chaque page. Il est donc important qu’ils ressentent pour lui de l’empathie…

C’est pourquoi il doit souffrir et/ou agir lorsqu’il vit l’histoire.

De cette phrase, nous pouvons déduire deux points majeurs :

  1. Le narrateur doit être présent lors des événements importants de l’histoire.
  2. Il doit être lié personnellement à l’intrigue.

Le premier point doit être respecté car le narrateur raconte ce qu’il a vécu et le ressenti qu’il en éprouve.

S’il est absent lors des scènes importantes, alors soit vos lecteurs n’auront pas accès à ces moments cruciaux, soit votre narrateur parlera de ce qu’il n’a pas vécu et… Perdra toute son utilité comparée aux autres types de narrateurs.

Le second point est tout aussi important. Car si le narrateur n’est pas concerné par ce qui se déroule dans l’histoire son ressenti sera inintéressant.

Un narrateur proche des lecteurs:

Le narrateur-personnage décrit l’histoire de son propre point de vue.

Donc les lecteurs n’assistent pas simplement à son récit : ils vivent cette expérience à travers ses yeux, ses pensées et ses émotions.

Mais justement, les émotions/croyances du narrateur altèrent sa manière de raconter le récit… Ainsi, un contraste fort peut être exploité entre ce qu’il fait et pense. Un contraste que seuls les lecteurs pourront remarquer.

Par exemple :

« Dès que je m’approchais d’eux, les autres enfants me crachaient dessus. Ils ne le faisaient pas par méchanceté, je le savais bien. Le seul responsable, c’était moi. Car ma mère avait flirté avec l’ennemi. Et ma seule existence indignait tous le village. Alors les enfants faisaient leur devoir : ils protégeaient leur pureté en éloignant le monstre que j’étais. »

Dans ce passage, les lecteurs n’ont pas simplement accès à l’action se déroulant (les crachats). Mais aussi aux pensées que cela déclenche chez le narrateur. Et ce qui lui traverse l’esprit dans cette situation est clairement différent de ce que les lecteurs en pensent.

Mais il y a plus que ça ! Dans cet extrait, le narrateur parle de l’avis des autres (« ma seule existence indignait tous le village »). Sauf qu’ici aussi, la vérité est soumise à la subjectivité du personnage-narrateur.

Car il ne s’agit que de son avis sur l’opinion des autres. Peut-être que certains villageois sont contre un tel déferlement de haine. Simplement, le narrateur n’en a pas conscience. Donc il raconte ce qui, pour lui, est la vérité.

Pourquoi utiliser ce type de narrateur :

Comme nous l’avons vu, la narration à la première personne emporte les lecteurs dans la psyché du personnage point de vue. Ceux-ci ne se contentent donc pas d’observer une histoire: ils la vivent en étant confronté aux dilemmes, aux souffrances et à la vision de celui qu’ils suivent.

La sensation de réel est accentuée par ce type de récit prenant la forme d’un témoignage.

Outre l’impact que vous voulez avoir sur vos lecteurs, il existe une autre raison de vouloir utiliser ce type de narrateur. Et cette raison vient directement du personnage point de vue : sa motivation.

Le personnage-narrateur raconte son histoire parce qu’il espère en retirer quelque chose (un témoignage émouvant lors d’un jugement, une rétrospective de sa vie pour se convaincre qu’il n’est pas mauvais, etc…).

Donc le type de narrateur de votre roman peut dépendre de votre histoire : C’est parce que votre personnage veut accomplir telle ou telle chose qu’il décide de raconter son histoire (et devient le narrateur de votre livre).

Ne commettez pas ces erreurs :

Le narrateur à la 1ère personne a déjà vécu l’histoire lorsqu’il la raconte. Vous pouvez donc, par son biais, spoiler vos lecteurs. Mais bien sûr : faites en sorte que cela n’arrive pas.

Il n’y a rien de plus ennuyeux qu’un roman dépourvu de surprises…

Un autre point sur lequel vous devez être irréprochable : le narrateur-personnage doit révèler toutes les informations qu’il possédait au fur et à mesure qu’il les apprend dans l’histoire. Sinon, le lien unissant le narrateur à vos lecteurs se brisera. Parce qu’ils comprendront que le personnage point de vue en savait plus qu’eux.

La troisième erreur est le manque de justesse.

Lorsque l’on entre dans le mental d’un personnage, nous avons accès à ce qu’il ressent. Notamment lorsqu’il vit des horreurs.

Ces passages-là sont très délicats car :

  • Ils ne peuvent pas être ellipsés puisqu’ils sont importants.
  • S’ils sont trop détaillés, ils deviennent mélodramatiques.
  • S’ils sont trop évasifs, la situation est dédramatisée et donc son importance est amoindrie.

Ce genre de passage pourrait être : le narrateur est amputé du bras alors qu’il est éveillé.

À moins que vous n’ayez vécu un tel calvaire, il paraît difficile de retranscrire efficacement le ressenti et les pensées du narrateur dans cette situation.

Donc en essayant de détailler cette épreuve, vous risqueriez de décrire la souffrance pour la souffrance. De manière trop brut et froide pour qu’elle ne serve l’histoire.

Mais si vous ne parlez pas de l’horreur qu’est cette amputation, vous banalisez cet acte comme s’il ne s’était pas passé grand-chose…

Conclusion : Si vous voulez écrire des scènes particulièrement dures en utilisant le type de narrateur à la 1ère personne, soyez certain de pouvoir décrire son ressenti avec exactitude.

Et maintenant, je vous propose de passer au type de narrateur suivant…

2 – Le narrateur omniscient :

narrateur omniscient

Deux des trois types de narrateurs s’exprime à la 3ème personne. L’omniscient en fait partie. Mais sa particularité principale est de tout savoir sur l’histoire. Absolument tout.

Le narrateur omniscient ne s’attache pas au point de vue d’un personnage en particulier. Ainsi, il sait ce qu’il se passe au même instant dans deux lieux séparés de milliers de kilomètres. Il connaît le futur, le passé et les pensées de chaque personnage.

Bref, ce type de narrateur est une sorte de dieu du savoir racontant une histoire dont il ne fait pas partie (en théorie).

Les avantages du narrateur omniscient :

  1. Les lecteurs ne doutent pas de sa parole.
  2. Il peut raconter plus de choses en moins de temps.
  3. Il permet de s’amuser avec différents points de vue.

Le point numéro 1 montre bien l’écart entre les types de narrateurs omniscient et à la 1ère personne. Car si ce dernier est peu fiable de par sa subjectivité, l’omniscient est impartial. Objectif. Et incapable de mentir. Résultat: les lecteurs écoutent ce qu’il raconte sans jamais douter de la véracité de ses paroles.

Le second point est assez évident : comme le narrateur omniscient sait tout, il peut dans un même paragraphe expliquer le ressenti d’un personnage et celui de son interlocuteur. Puis décrire les conséquences de leur conversation sur les dix prochaines années (par exemple).

En bref, il bondit d’un événement à un autre sans restriction. Il a la capacité d’en dire plus, plus rapidement.

Comme nous l’avons vu, le narrateur omniscient peut passer des pensées d’un personnage à un autre en un claquement de doigt.

Ainsi, il peut mettre en contraste ce que pensent deux personnages différents. Chose impossible à faire avec le type de narrateur à la première personne. Et plus compliqué et long avec le point de vue à la troisième personne limitée.

Du coup, en octroyant les connaissances de différents personnages aux lecteurs, ces derniers peuvent comprendre des choses dont aucun personnage n’a individuellement conscience (un exemple plus bas).

L’erreur à éviter :

LA grosse erreur liée au narrateur omniscient est… De l’utiliser par facilité. Et non par nécessité.

Je m’explique :

Comme le narrateur omniscient virevolte d’un personnage à un autre, d’un lieu à un autre, sans restriction… Il est plus facile pour vous de raconter l’histoire. Sauf que la facilité (dans ce cas) risque d’amener à la médiocrité.

Via un narrateur omniscient, les lecteurs sont moins proches des émotions des personnages. Parce qu’ils passent des uns aux autres sans arrêt. Ils ont donc une compréhension « stratégique », « logique » et plus globale du récit. Mais ils sont moins enveloppés dans le cocon de réalité des personnages.

Alors étudiez bien les différents choix s’offrants à vous. Et ne choisissez le type de narrateur omniscient que s’il apporte véritablement quelque chose à votre histoire. Plutôt qu’à vous-même.

Extraits de narration du type omniscient :

Voici un exemple de texte utilisant les capacités du narrateur omniscient à savoir ce qu’il se passe partout, tous le temps :

« Jacob enfonça une tige métallique dans le doigt du mafieux. Les cris de souffrance de sa victime glaçaient Jacob, mais il ne renonça pas. Il devait découvrir où sa fille était retenue captive. Alors il continua son interrogatoire toute la nuit… Pendant que le véritable coupable s’en prenait au reste de sa famille. »

Maintenant, un autre exemple où le contraste entre le point de vue de deux personnages est exploité :

« Exceptionnellement, Henry rentra plus tôt du travail. C’était son anniversaire. Il voulait passer du temps avec sa femme. En rentrant, il ne fut pas déçu : sa belle était en petite tenue, prête à lui offrir sa surprise du jour. Si excité qu’il était, il ne remarqua pas l’air affolé de sa femme. Subtilement, elle l’attira vers la cuisine en se cognant aux meubles et à la porte. Ainsi, elle espérait camoufler le bruit que faisait son amant pour se rhabiller et quitter la maison. »

Il est temps de vous parler du type de narrateur le plus courant de nos jours…

3 – Le narrateur à la troisième personne limitée :

Comme son nom l’indique, ce type de narrateur s’exprime à la 3ème personne. Mais contrairement à l’omniscient, il se fixe au point de vue d’un personnage. Et ignore donc plus de choses qu’il n’en sait.

Les lecteurs ont accès aux pensées, aux désirs et aux souvenirs d’un personnage fixe. Et ils vivent l’histoire à travers ses yeux. Même s’il n’est pas en train de raconter l’histoire.

Précision : Un narrateur à la 3ème personne limitée peut switcher de point de vue (donc de personnage) au cours du récit. Mais :

  1. Pas aussi rapidement que l’omniscient. Il faut donc une « coupure » logique pour passer du point de vue du personnage A, à celui du personnage B. Par exemple, un changement de chapitre.
  2. Lorsque vous changez de personnage-point de vue, vous devez (très) vite le faire comprendre aux lecteurs en citant le nom de ce personnage.

Si vous choisissez cette façon de procéder, vous vous focalisez en fait sur le ressenti d’un personnage… Puis d’un autre… Et vous rechangez, etc… Mais vous n’exploitez jamais plusieurs points de vue en même temps.

C’est le propre de la troisième personne limitée.

Les avantages :

Le narrateur à la troisième personne limitée a un avantage majeur. C’est ce qui le démarque des deux types de narrateurs précédents.

Cet atout est de créer un lien plus direct entre les personnages et les lecteurs.

En effet, le narrateur à la 1ère personne ne le fait pas aussi bien car il raconte son histoire… Après l’avoir vécue. Et donc, sans cesse, le narrateur rappelle aux lecteurs qu’il raconte une histoire. Ce qui a tendance à donner du recul aux lecteurs. Et à faire diminuer l’émotion.

Pour le narrateur omniscient, c’est le fait de changer constamment de personnage-point de vue qui minimise l’émotion des lecteurs. Mais aussi le fait de « tout savoir ». Car ils ne sont jamais à la place des personnages : ils en savent toujours plus.

Au contraire, le type de narrateur à la 3ème personne limitée est proche du personnage car les lecteurs suivent l’histoire de son point de vue. Ils sont donc enfermés dans son cocon de ressentis. De pensées. Et d’émotions. Le narrateur ne racontant pas sa propre histoire, ils lisent le récit comme s’il se déroulait en direct.

Bref, ce type de narrateur n’a pas les avantages des deux autres, mais il est la meilleure option pour transmettre aux lecteurs l’émotion du personnage point de vue.

Le niveau de pénétration :

Pour totalement comprendre l’utilisation du narrateur à la troisième personne limitée, vous devez savoir ce qu’est le « niveau de pénétration ».

Voici une définition : Il s’agit du degré avec lequel le narrateur investie les pensées du personnage-point de vue.

Nous pouvons regrouper ces degrés en 3 niveaux différents :

  1. La pénétration légère.
  2. La pénétration avancée.
  3. La pénétration cinématographique.

La pénétration légère correspond à un texte raconté du point de vue d’un personnage (avec accès à ses pensées), mais dicté d’une voix neutre.

La pénétration avancée s’accroche toujours aux pensées et au point de vue d’un personnage, mais la prononciation des phrases du narrateur est altérée. Comme si le narrateur se laissait influencer par le ressenti du personnage au point de parler comme lui.

La pénétration cinématographique est une description pure et simple. Neutre et objective. Sans aucun accès aux pensées, mais tout de même dépendant des yeux d’un personnage (de ce qu’il vit).

Pour que ce principe soit plus clair, je vais vous montrer des exemples.

Mais avant, une précision : Le type de narrateur ne peut pas changer au cours du récit. Par contre, le niveau de pénétration peut fluctuer (c’est même conseillé). Ainsi, suivant ce que vous racontez, vous pouvez amener vos lecteurs au plus près du ressenti de votre personnage, ou au contraire l’en éloigner lorsque nécessaire.

Passons aux extraits.

Quelques exemples :

« Dany débarqua sur le pont de son navire. Les regards se tournèrent vers lui. L’assaut de la veille avait fatigué tout l’équipage. Mais pour le capitaine, le plus éreintant était sa nouvelle jambe de bois. Elle le faisait souffrir à chaque instant. Pourtant, il n’en laissa rien paraître. Si mes hommes me voient flancher ils me lâcheront, se répétait Dany. »

Ici, nous avons affaire à une pénétration légère. L’extrait est raconté du point de vue de Dany. Nous avons accès à son ressenti et même, à la fin, à ses pensées. Toutefois, les phrases du narrateur restent assez neutres. Sans jugement.

« Dany débarqua sur le pont de son navire. Les regards de ses hommes le piquèrent à vif. Ils le jaugeaient ! Cette vermine, incapable de se discipliner sans le commandement de son capitaine, cherchait une faille en lui. Son second, plus que les autres, le toisait avec des yeux de vautours. Prêt à le lyncher pour prendre sa place. Mais sa cervelle cramoisie ne lui permettait pas de comprendre la complexité du vent et des courants marins. Alors comment pouvait-il se croire capable de diriger une centaine d’hommes ? »

Cette fois, la pénétration est avancée. Les phrases, bien que provenant du narrateur, sont directement influencées par ce que pense Dany. Le mot « vermine » est loin d’être neutre. Il s’agit de l’avis du capitaine.

« Dany débarqua sur le pont de son navire. Les yeux se tournèrent vers lui. Vers sa jambe de bois qui frappait le sol d’un Toc, Toc, Toc. Il serra les mâchoires et releva le menton, défiant du regard ses matelots. Un à un. Quand arriva le tour de son second, il ne cilla pas une seule fois. Finalement, son bras droit détourna le regard. Alors les épaules se relâchèrent. Puis Dany cria ses ordres et la vie reprit sur le navire. »

Cet extrait de nous apprend rien de plus que ce que Dany peut avoir perçu. Et il se passe des pensées du capitaine. Les phrases du narrateur son objectives. Descriptives. Le niveau de pénétration est donc cinématographique.

Types de narrateurs: lequel choisir ?

Si après tout ceci vous hésitez encore entre les différents types de narrateurs : pas de panique ! Je vous ai listé les cas les plus adaptés à chaque point de vue.

1ère personne :

Vous pouvez vous diriger vers ce type de narrateur dans deux cas de figure :

  1. Si votre récit est comique : Le décalage entre ce que pense le narrateur et ce qui se déroule est propice à faire rire.
  2. Si vous voulez accentuer le réalisme : Un récit à la première personne donne cette impression de témoignage qui peut donner une grande force à une histoire.

Si vous choisissez ce narrateur veillez donc bien à ce que ses avantages soient utiles à votre narration. Qu’ils apportent quelque chose.

Omniscient :

Ce type de narrateur est utile dans deux situations :

  1. Pour un récit comique : De la même manière que le narrateur à la 1ère personne créé un décalage, la « toute-connaissance » de l’omniscient lui permet de présenter aux lecteurs des situations cocasses.
  2. Pour une histoire très fournie : S’étalant sur une longue période, dans un espace très grand, avec beaucoup de personnages… Le narrateur omniscient permet de bondir d’un lieu à un autre, d’une époque à une autre, très facilement. C’est donc un très bon choix pour ce genre d’histoire.

3ème personne limitée :

Globalement, vous voudrez utiliser ce type de narrateur lorsque votre but sera de faire partager les émotions du personnage-point de vue aux lecteurs.

Mais ce n’est pas tout. Ce narrateur est très utilisé de nos jours. Il s’agit donc certainement de celui avec lequel vous serez le plus à l’aise. Car vous vous y serez habitué lors de vos lectures.

Alors si vous hésitez entre les différents types de narrateurs, partez sur la troisième personne limitée. Ce sera plus naturel pour débuter.

Votre type de narrateur :

Choisir son point de vue narratif ne se fait pas juste avant la rédaction. Mais bel et bien pendant la construction du récit.

Si vous êtes cantonné au point de vue d’un seul personnage, par exemple, vous développerez des rebondissements différents de ceux racontés par un narrateur omniscient. Car les informations ne pourront pas être révélées au même moment. Et elles n’auront pas le même impact auprès des lecteurs.

Donc maintenant que vous connaissez les avantages de tous les types de narrateurs, choisissez celui qui vous convient et continuez l’élaboration de votre récit !

  • Merci beaucoup pour ces explications, c’est vraiment vraiment intéressant et plus facile de comprendre comment écrire!! 😉

  • Merci pour ces petits cours accélérés et gratuits. C’est très sympa. Je vais écrire mon deuxième roman. Je me remets dans le bain.

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